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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 10:33

saint Jean eudesSt Jean Eudes                                                 

 le 25 mars est le jour où l'Eglise célèbre l'incarnation de Jésus dans le sein de Marie. Cet évènement du mystère du salut met donc en présence deux personnes intimement: Jésus et Marie à qui Jean EUDES confie la congrégation qu'il fonde le 25 mars de l'an 1643. Aujourd'hui la Congrégation de Jésus et Marie du père EUDES a 370 ans de vie dans l'évangélisation et la formation de bons ouvriers de l'Evangile.

 

Bonne fête à toute la congrégation! Bonne fête à tous les eudistes du monde entier!

 

 

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 22:01

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Il est dans nos vies des moments qui refusent de passer sous silence puisqu’ils  intuitionnent déjà la grâce du Père que le Fils dépose en nous par la puissance de l’Esprit Saint.  Une telle faveur de Dieu qui suscite gratitude et interpellation, ne cesse de nous ouvrir cependant au chef-d’œuvre le plus parfait de la splendeur divine : le cœur immaculé de la Très Sainte Vierge Marie, Mère de Dieu.  Rappelons d’entrée de jeu quelques  mots du P. Eudes à cet effet : «  célébrer et honorer le  très saint Cœur de la Vierge  sainte… est, avant tout, célébrer et honorer de manière spéciale  l’immense  amour et l’ardente charité de cette Mère du bel amour pour Dieu et pour les hommes et toutes les conséquences  qu’un  tel amour et charité ont produit dans ses pensées, ses paroles, ses prières, ses actions, ses souffrances et dans la pratique de toutes les  vertus. » (OC, VIII, 433).

Qu’à cela ne tienne, célébrer et honorer le Cœur de Marie, Vierge  très aimable et Mère  admirable, c’est honorer et  célébrer l’immense amour et l’ardente charité de cette Mère du bel amour. C’est ainsi : immense amour et  ardente  charité ! Donc, être Eudiste c’est tenir le Cœur de Marie pour notre propre cœur et ainsi  l’enseigner au Peuple de Dieu : un cœur avec un  immense  amour et une ardente charité. C’est ainsi que nous nous rendrons un «  hommage d’adoration au Cœur très aimant de Jésus qui révèle aux hommes l’amour de Dieu. » (Const,4). C’est exactement la grâce inouïe que s’est appropriée, ce 8 Février 2013, la maison de formation eudiste à Yopougon (Côte d’Ivoire), visibilité authentique de l’incommensurable richesse vice-provinciale.

 

En effet, ce même jour, le P. Sévérin Lath, en son rang et qualité d’assistant vice-provincial  a présidé la célébration de la solennité du Cœur de Marie. Au cours de cette célébration qui a débuté à 19h00, les candidats Lazare Gbénou, Farid Fiacre Gbankoto et Raymond Akogbé ont fait leur entrée en probation ; Bernard Dabiré, Jean Paul Sakoto, Urbain Yameogo et Raphaël Danho Sika ont été institués lecteurs en vue du sacerdoce ; Jean Clovis Aminin Mobio, Mawoussi Adoko, Raphaël Danho Sika, Bernard Yawo Assedi, Christian Adéa, Marcus Edem Saba, Daniel Y. Nipapé, et Spérauld Gilpatrick Agossou ont été institués acolytes en vue du sacerdoce. Félicitations et encouragements à ces jeunes qui ont décidé de faire un pas de plus vers l’Autel du Seigneur acceptant de continuer le chemin entre l’appel de Dieu et les appels du monde.

Que le Seigneur achève en chacun et en tous ce qu’il a bien voulu commencer.

 

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3 novembre 2012 6 03 /11 /novembre /2012 22:21

 

Chers confrères,

Parents et amis,

Et vous diocésains de Porto-Novo,

Fils et filles bien-aimés de Dieu,

 

Au nom de la famille des Pères Eudistes, à laquelle appartient notre cher et regretté Père Mgr René-Marie, qui a rejoint la maison du Père éternel, le 17 dernier, je vous salue affectueusement et vous présente encore nos condoléances. Je voudrais, avant d’entrer pleinement dans cette méditation, exprimer à chacun de vous nos sincères remerciements. Merci d’être là de nouveau ce soir pour communier à la douleur de la famille Ehouzou, à la peine de tous et prier pour notre cher Père Evêque. Votre présence est un témoignage de proximité qui réconforte et soulage. Que le Seigneur lui-même assure nos cœurs dans sa paix.

De cœur avec nous dans cette célébration, je vous porte aussi les salutations et sentiments de notre Père Supérieur Général, Camilo Bernal, actuellement à Rome, qui garde toujours un vif et émouvant souvenir de sa rencontre avec Monseigneur, ici même dans cet évêché, en avril passé, et plus récemment à San Giovanni Rotondo, pendant sa maladie.

 

Chers amis, c’est avec émotion,  grand respect et vénération que je me tiens près des précieux restes de celui que notre communauté pleure en ce moment. Pasteur plein de zèle apostolique et très attentif, d’une bonté de cœur et d’une simplicité exemplaires, soucieux du bien de l’homme et surtout de ses diocésains, le Peuple de Dieu qui lui a été confié, Mgr aura été pour beaucoup, pour ne pas dire pour tous ceux qui l’ont côtoyé en vérité et de façon sincère, un « bon compagnon » et j’en suis sûr, il le demeure aujourd’hui encore plus que jamais dans le cœur de plus d’un. Monseigneur René-Marie nous a montré, à sa manière, le visage du Christ qu’il a aimé et servi. De la Cathédrale de Cotonou à ce siège épiscopal de Porto-Novo, dont il a pris possession le 4 février 2007, passant par Abomey, je ne puis m’empêcher, devant sa dépouille mortelle, de me souvenir des multiples occasions de rencontre et d’échange connues avec lui et de saluer la mémoire de l’homme, du croyant et du serviteur, plein de douceur.

 

A l’aube de cette année 2012, Monseigneur partageait ceci avec nous, pour exprimer ses vœux de nouvel an : « C’est l’amour de la vérité… qui trace le chemin que toute justice humaine doit emprunter pour aboutir à la restauration des liens de fraternité dans ‘’la Famille humaine, communauté de paix’’, réconciliée avec Dieu par le Christ. » (Africae Munus n. 18). Il invitait ainsi ses frères et sœurs dans la foi et en humanité à se faire, à la suite du Christ, serviteurs et servantes de l’amour et de la vérité, profondément convaincu que ces valeurs restent le véritable bouclier de la justice et le socle inébranlable d’une existence heureuse, d’une communauté paisible, fut-elle ecclésiale.

 

Chers amis, Monseigneur s’en est allé, après une longue maladie, une très longue maladie de six ans marquée par des hauts et des bas, des moments d’espérance et des jours de crainte, d’angoisse. Son départ nous plonge dans l’amertume et la douleur, mais la foi qui nous anime et notre espérance en la résurrection de la chair que nous confessons nous font crier, avec l’auteur du livre de la Sagesse et le psalmiste, vers Dieu pour le supplier en sa faveur.

« La vie des justes est dans la main de Dieu. Aucun tourment n’a de prise sur eux… Quand ils nous ont quittés, on les croyait anéantis, alors qu’ils étaient dans la paix. Aux yeux des hommes, ils subissaient un châtiment, mais par leur espérance, ils avaient déjà l’immortalité. Ce qu’ils ont eu à souffrir était peu de choses auprès du bonheur dont ils seront comblés. » (Sg 3, 1ss)

 

« Des profondeurs, je crie vers toi Seigneur, Seigneur, écoute mon appel, que ton oreille se fasse attentive au cri de ma prière. Je mets mon espoir dans le Seigneur, je suis sûr de sa parole. » (Ps. 129).

 

Oui, chers frères et sœurs, s’il est vrai qu’au nom des liens qui nous unissent à Monseigneur et selon la qualité des relations que nous avons tissées avec lui, chacun pourrait dire quelque chose de la vie de notre cher père évêque, je voudrais, dans la suite de cette méditation, partager avec vous ce qui me semble une caractéristique de sa personne de baptisé, de prêtre, de pasteur. Entre autres qualités de Monseigneur, je voudrais retenir la vertu de la miséricorde.

 

Le Seigneur, par la bouche de son prophète Jérémie (Jr 3, 15), à une époque bien tumultueuse de son histoire, rassure et réconforte son peuple souffrant et dispersé, en ces termes : « Je vous donnerai des pasteurs selon mon cœur ». Voilà ce qu’a été Mgr René-Marie. Pasteur selon le cœur de Dieu. Le mystère du cœur de Dieu dont nous pouvons explorer les qualités, nous situe dans la réalité pastorale et apostolique de celui que nous pleurons en ce moment. Le cœur de Dieu est un cœur rempli de miséricorde, et dans ce cœur miséricordieux, l’on peut aisément reconnaître et expérimenter la sollicitude et l’attention dont l’humanité bénéficie. Le cœur de Dieu rempli de miséricorde est donc un cœur attentif au bien des hommes et particulièrement des petits et des pauvres. Le cœur de Dieu rempli de miséricorde est aussi un cœur bon et généreux envers tous. Mais il convient de rappeler également que le cœur de Dieu rempli de miséricorde est un cœur qui saigne ; qui saigne de la haine, du refus de repentir et de conversion, de l’intolérance, de la division, du manque de charité et des maux du genre de son peuple. C’est un cœur qui souffre du refus de l’homme d’accueillir son amour gratuit.

 

Le Père Eudes, notre fondateur, nous apprend que « Trois choses sont requises à la miséricorde : la première est qu’elle ait compassion de la misère d’autrui car celui-là est miséricordieux qui porte dans son cœur, par compassion, les misères des misérables. La seconde, qu’elle ait une grande volonté de les secourir dans leurs misères. La troisième, qu’elle passe de la volonté à l’effet. Or notre très bénin Rédempteur s’est incarné pour exercer ainsi vers nous sa grande miséricorde » (O.C. VIII 52.53).

 

A l’exemple du Christ Rédempteur, Mgr René-Marie, s’est employé, de tout son être, avec zèle et dévouement, dans un renoncement acétique, non seulement à cultiver mais aussi à pratiquer cette vertu. En témoigne sa proximité avec les pauvres, les marginalisés, les petits, les prisonniers et tous ceux que le monde regarde comme indigents ou nécessiteux, mais aussi avec tant d’autres. On se souvient dans son presbytère de la Cathédrale de Cotonou, sa présence au chevet de Mgr Christophe Adimou, Archevêque émérite de Cotonou, comme de bien d’autres prêtres, affaiblis par la maladie ou l’âge. On se souvient de son apostolat à la prison de Cotonou et de sa sollicitude pour les marins.

 

Il est juste de dire qu’aucun mortel n’est parfait, en raison de la faiblesse humaine ; mais en observant la vie et le ministère apostolique de Mgr René-Marie au milieu de nous, en tant que prêtre et évêque, l’on peut se rendre compte d’une chose : son profond désir de vivre en adéquation avec son identité et l’idéal que nous propose le « Maître et Seigneur » qui a lavé les pieds à ses apôtres (cf. Jn 13, 1-20. Ici précisément, nous rejoignons le mystère du Christ qui, par un anéantissement total de soi, tient la place du serviteur et esclave, s’offrant pour la cause des siens.

 

Dans cette dynamique, notre cher Père évêque et confrère avait conscience d’être un « alter Christus », qui par une dévotion particulière à la via crucis et à l’Eucharistie, sacrement de l’amour salvifique du Fils immolé, dans une union intime au Christ souffrant, s’est laissé consumé jour après jour, dans un élan d’amour et d’accueil de la volonté divine pour sa gloire. Vivre et tout accomplir pour le seul honneur et la gloire de Dieu. Tel est l’héritage humain et spirituel qu’il a choisi de nous laisser, aujourd’hui, par sa vie apostolique.

« Tibi autem omnis honor et gloria » (c’est la devise épiscopale de Monseigneur). Oui, à toi tout honneur et toute gloire Seigneur, car, avec Mgr René-Marie, nous avons compris cette profonde et singulière conviction que « le serviteur n’est pas plus grand que son maître ni le messager plus grand que celui qui l’envoie » (Jn 13, 16). Mais nous sommes aussi réconfortés par la promesse du Maître de faire partager sa gloire au serviteur fidèle et persévérant, dans le royaume du Père.

Dans le Christ, notre « Maître et Seigneur », l’honneur et la gloire ont pris le chemin de la souffrance et du don de soi. « Broyé par la souffrance, il a plu au Seigneur » disait Isaïe (Es, 53, 10). Souffrances physiques et morales ont jalonné l’épiscopat de Monseigneur René-Marie qui n’aura duré que 9 ans. A l’école de la Vierge Marie et de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, il aura appris que la consécration à la volonté de Dieu est une négation permanente de son désir propre, de son vouloir personnel ; elle est une offrande perpétuelle de tout, dans la foi et l’espérance.

« Tibi autem omnis honor et gloria » ! Fofo René-Marie, malgré ses faiblesses, demeure tout simplement, pour ceux qui sont dans la vérité de la foi, un exemple, dans sa configuration au Christ, Pain de vie. Le 17 octobre, jour de son rappel à Dieu, l’Eglise célèbre Saint Ignace d’Antioche. Sur le chemin qui le conduisait à l’offrande de sa vie comme martyr, il dit ceci, après avoir laissé entendre aux siens qu’il est le pain immaculé du Seigneur issu du grain de blé moulu sous la dent des bêtes : « n’ayez pas le Christ sur les lèvres et le monde dans le cœur » ;  comme pour dire que le Christ soit toujours la source des sentiments qui habitent votre cœur et des paroles qui sont sur vos lèvres.

La 4ème préface de la liturgie des défunts dit : « Père, tu nous donnes de naître, tu diriges notre existence, et tu veux que dès cette vie, nous qui sommes tirés de la terre, nous soyons libérés de la puissance du mal. Oui, nous sommes sauvés par la mort de ton Fils ; et nous attendons qu’un signe de toi nous éveille à la vraie vie, dans la gloire de la résurrection ».

Puisse le Seigneur accueillir notre supplication et que « le grain de blé tombé en terre »  ouvre, pour ce diocèse et pour l’Eglise au Bénin, des sentiers de conversion des cœurs et des mentalités pour soulager notre douleur et réconforter ceux qui sont dans la peine. Cher fofo, René-Marie, notre Père et confrère, repose dans la paix du Ressuscité et intercède pour nous. Amen !

 

Père Jules W. Amagnon, cjm

Fraternité Saint Jean Eudes

Godomey, Bénin

 

 

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3 novembre 2012 6 03 /11 /novembre /2012 15:10

Cher Monseigneur René Marie,

Vous tous, qui participez à la célébration de ses obsèques, en vos rangs et grades respectifs, chers tous bien aimés du Seigneur, je vous salue au nom de la famille des Eudistes. Depuis le 17 octobre, jour du rappel à Dieu de notre frère dans le sacerdoce et dans la vie religieuse, nous n’avons cessé de penser à lui, à sa famille biologique et spirituelle dans nos prières. Nous avons échangé des condoléances et maintenant que nous l’accueillons dans l’Eglise Notre Dame, la Cathédrale où il a servi le peuple fidèle, je nous redis condoléance à tous et à chacun.

Monseigneur René Marie a tissé avec nous, des liens d’amitié et de foi. Nous l’avons connu, nous l’avons aimé. Nous avons su apprécier sa riche personnalité soucieuse du bien des autres. Des années durant, il s’est montré proche des jeunes candidats au sacerdoce à Parakou, au grand séminaire Saint Gall de Ouidah et dans sa paroisse Cathédrale. Proche, il l’était de chacun de nous, nous manifestant sa simplicité et sa générosité en toute occasion. Nous rendons grâce au Seigneur pour ce qu’il a été pour nous, pour ce qu’il demeure pour tous, un témoin de la foi Catholique, un serviteur de l’Eglise, un ami des pauvres et des petits, un ami de tous. Nous partageons dans la foi notre peine et nous célébrons notre espérance en sa résurrection bienheureuse. 09 ans de vie d’épiscopat, 40 ans de vie presbytérale, 68 ans de vie de présence parmi nous. C’est autant de moment de partage de vie avec notre frère. Il a connu le bonheur du service et les peines attachées aux souffrances de tous genres et de la maladie. Il a lutté des années durant contre la maladie. Le Seigneur qui l’aime tant l’a repris auprès de lui pour que cessent les jours, les mois, et les années de souffrance dans la maladie. Que le nom du Seigneur soit béni. Chacun et tous ici gardent un souvenir vivant de toi. Tu n’aimes pas que l’on parle de toi, de tes qualités. Quand on y attarde, tu détournes la conversation. Aujourd’hui, je parle de toi et avec toi pour que le témoignage que tu nous laisses, reste vivant dans nos mémoires et inspire notre vie. Digne fils de Saint Jean-Eudes et de l’Eglise nous pleurons ton départ mais nous gardons l’espérance et nous prions pour que se réalise pour toi le plus grand rêve de ta vie. Partager le bonheur avec Dieu.

Cher Monseigneur René Marie, mon ainé dans le sacerdoce, 12ans entre nous. Mon compagnon de noviciat de l’année 1980-1981 a 8 Rue Maison Dieu dans le 14 ième arrondissement a paris, mon cadet dans l’incorporation Eudiste, tu as combattu le bon combat. A nos yeux d’humain, tu as servi ton maitre et Seigneur en t’associant pleinement à son mystère pascal. Qu’il te fasse participer à sa résurrection bienheureuse. Ensemble pour la mission (la tienne était plus riche, variée et lourde) nous restons ensemble dans les circonstances où tu réponds pleinement à l’appel de ton Dieu. Avec tous ceux qui t’ont connu et aimé, nous gardons ton souvenir vivant dans nos mémoires. Tu manques à la liste des Eudistes africains maintenant. Tu rejoins ceux des nôtres qui sont auprès de Dieu. La communion des Saints nous unit. Nous regrettons mais nous restons confiants parce que désormais nous avons en toi un intercesseur auprès de Dieu. Que la Vierge Marie et les Saints t’accueillent dans la maison de paix et de bonheur éternel et que le père des miséricordes te fasse partager sa joie éternelle. Et vous tous en communion avec nous dans la peine, merci pour tout et que Dieu vous accorde au centuple ses bienfaits.

 

                             Vive Jésus et Marie

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 17:53

 

 

 Chers confères, candidats, associés et amis!
 J'ai la profonde douleur de vous annoncer le rappel à Dieu de notre confrère, Mgr René-Marie EHUZU, évêque de Porto-Novo (BENIN), ce jour 17 octobre 2012, à l'âge de 68 ans, à l'hôpital de Rotondo. Il était malade depuis quelque temps comme vous le savez.
Le programme des obsèques vous sera communiqué ultérieurement. Priez pour le repos de son âme.
 Comme nous l'indiquent les constitutions, je prie les confrères prêtres de s'acquitter de leur devoir en offrant des messes pour le repos de son âme.
En toute fraternité, en Jésus et Marie!
Maxime KOUASSI, cjm.
Supérieur vice - provincial d'Afrique.

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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 10:26

Le nouveau Supérieur général de la Congrégation le père Camilo BERNAL HADAD, vient de nomme le père Maxime KOUASSI, Né le 28 novembre 1965, Incorporé le 16 février 2001et Ordonné prêtre le 7 juillet 2001, nouveau

SUPÉRIEUR DE LA VICE-PROVINCE D’AFRIQUE

pour un premier mandat de trois ans

à partir du 1er septembre 2012

 

Toutes nos félicitations au Père Maxime et que le Seigneur l'accompagne dans cette nouvelle charge  qu'il a accepté "corde magno et animo volenti"

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 17:03

Je vous annonce avec joie
la composition du nouveau conseil général :

 

 

VICAIRE GENERAL : P. Luc CRÉPY

Le P. Luc CRÉPY est né le 12 mai 1958. Il a été incorporé à la Congrégation le 10 décembre 1988 dans la Province de France. Il a été ordonné prêtre le 21 mai 1989. Au moment de son élection comme vicaire général, le Père Luc Crépy était supérieur du Séminaire Interdiocésain d’Orléans.

 

 

CONSEILLERS GÉNÉRAUX NON RÉSIDENTS

 

Le P. Gilles OUELLET est né le 13 août 1942. Il a été incorporé à la Congrégation le 09 septembre 1967 dans la Province d’Amérique du Nord. Il a été ordonné prêtre le 30 décembre 1967. Au moment de son élection comme conseiller général non-résident, le P. Gilles Ouellet est économe de la Province d’Amérique du Nord et directeur général de Champboisé.
Le P. Carlos G. ALVAREZ est né le 12 novembre 1945. Il a été incorporé à la Congrégation le 06 avril 1969 dans la Province de Colombie. Il a été ordonné prêtre le 07 décembre 1971. Au moment de son élection, le P. Carlos Alvarez est conseiller provincial, assistant régional et responsable de formation.
Au nom de tous les confrères, candidats et associés de la Vice-province d’Afrique, je souhaite aux nouveaux membres du conseil général nos plus sincères félicitations pour leur élection et nous les remercions d’avoir accepté de rendre ce service à notre Congrégation.

 

Que la Vierge Marie et son Divin Fils bénissent cette page nouvelle qui s’ouvre pour notre Congrégation et qui nous revient d’écrire « cum corde et animo volenti », avec amour et de grand cœur.
Fait à Fusagasugà,
Le 05 janvier 2012
 
Bernard Cantin, c.j.m.
Supérieur vice-provincial

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 16:36

LES EUDISTES VICE-PROVINCE D’AFRIQUE COMMUNIQUÉ 2012/001

 

 

"Je vous annonce une grande joie : nous avons un nouveau supérieur général dans la personne du Père Camilo BERNAL"

 

 

Le P. Camilo BERNAL est né le 25 juillet 1954. Il a été ordonné prêtre le 28 novembre 1987. Il a été incorporé à la Congrégation de Jésus et Marie le 20 octobre 1990. Au moment de son élection comme supérieur général, le Père Camilo BERNAL était membre de la Province Minuto de Dios de Colombie. Il était supérieur de la communauté « Carlos Eduardo Acosta », conseiller provincial et directeur national de la SENA. Au nom de tous les confrères, candidats et associés de la Vice-province d’Afrique, je souhaite au P. Camilo nos plus sincères félicitations pour son élection et nous le remercions d’avoir accepté de rendre ce service à notre petite Congrégation. Nous l’attendons avec impatience dans notre Vice-province et nous le recevrons avec les honneurs qui lui sont dûs. Que la Vierge Marie et son Divin Fils bénissent cette page nouvelle qui s’ouvre pour notre Congrégation et qup nous revient d’écrire « cum corde et animo volenti », avec amour et de grand cœur, sous la direction du P. Camilo.

 

 

 

Fait à Fusagasugà,

Le 2 janvier 2012

 

 

 

Bernard Cantin, c.j.m. Supérieur vice-provincial

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 16:31
Chers frères et amis, En ce début d’année 2012, je viens vous présenter mes meilleurs vœux de santé, de paix et d’épanouissement dans le ministère qui nous a été confié. Vous savez que depuis septembre 2010, j’ai demandé un temps sabbatique au Supérieur Général, feu Michel Gérard. J’aurais bien voulu rencontrer chacun de vous pour partager les conclusions de cette année sabbatique. Mais la distance et surtout le temps m’obligent à communiquer avec vous par le courrier électronique. Ma dernière année en France a été marquée par la formation à l’IFEC (Institut de Formation des Educateurs du Clergé). Ce fut une année de relecture de mon ministère de prêtre et de ma propre histoire. De très fortes interrogations muées en doute se sont imposées à moi. Le discernement spirituel dont j’ai bénéficié m’a progressivement emmené à demander un temps sabbatique. Mon retour à Abidjan a coïncidé avec la crise post-électorale. Ce fut aussi pour moi un temps de crise psychologique et spirituelle. J’avoue que grâce aux prières et aux soutiens de plusieurs amis, j’ai pu traverser cette période difficile. J’ai retrouvé peu à peu l’équilibre humain et psychologique dont j’avais besoin pour refaire surface. Aujourd’hui, grâce à l’accompagnement spirituel que j’ai continué à Abidjan avec un prêtre jésuite, j’ai pris la grave décision de sortir de la Congrégation et de l’état clérical afin de retrouver cohésion et paix intérieures. Cette décision va vous surprendre et peut-être même vous choquer. Je demande pardon à chacun d’entre vous. Cette décision n’a pas été facile à prendre. Ce que je suis aujourd’hui, je le dois aux Eudistes et à l’Eglise. J’ai été heureux durant tout mon ministère d’eudiste et de prêtre. Et cela grâce à chacun de vous. Je resterai toujours un fils de St Jean Eudes et j’espère que cette décision difficile m’aidera à tendre vers l’idéal chrétien. Je remercie la Province de France pour ce qu’elle m’a apporté ces dernières années. Je remercie chacun de vous pour votre amitié fraternelle et ce que vous êtes pour moi. Je voudrais compter sur votre soutien et vos prières. Chacun de vous habite ma prière quotidienne. Fraternelles salutations. Raphaël Drabo
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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 20:04

Ce vendredi 7 octobre 2011, à 09h30, à la maison vice-provinciale, Abatta, Côte d’Ivoire, le dépouillement du 2e tour de votation pour l’élection de quatre (4) conseillers vice-provinciaux a eu lieu à la maison vice-provinciale en présence du P. Bernard CANTIN, vice-provincial, des PP. Hervé YODÉ et Patrice ADJÉRAN, scrutateurs, Moïse BONI, secrétaire.

 

Le dépouillement donne le résultat suivant :

 

Nombre de bulletins reçus               :           33

Nombre de bulletins valides            :           33

Nombre de votes exprimés              :           132     

Majorité absolue                              :           17

 

 

RÉSULTAT DE LA VOTATION 


LATH, Séverin                     21

KOUASSI, Maxime             19

GROTHE, Bonaventure     15

LATH, Marcel                      14

SAMS, Francis                       10

AGBOWAÏ, Franck              09

GBEGNON, Aurélien           08

YODE, Hervé                                    07

HOUEZO, Jean-Marie           06

N’GOUAN, Honoré              04

DIRINGBIN, Basile             03

MEDJI, Roger                                   03

AFOUTOU, Anselme                       03

POLAYE, Richard                03

BEDJRA, Edoh                     02

ZOGBLADAN, Paul            02

MUKWASA, Simon             01

KOUAO, Charles Yapi         01

KOUADJO, Ernest               01


 

Au nom de tous les incorporés et en mon nom personnel, je félicite les PP. Séverin LATH, Maxime KOUASSI, Bonaventure GROTHE et Marcel LATH qui ont été élus par leurs confrères et qui ont généreusement accepté de rendre ce service à la vice-province.

Également, en votre nom et en mon nom, je remercie les PP. Marcel LATH. Franck AGBOWAÏ, Séverin LATH et Bonaventure GROTHE qui formaient le conseil vice-provincial précédent et qui ont consacré beaucoup de leur temps pour la vice-province.

Après consultation des conseillers élus, on devrait tenir un premier conseil vice-provincial dans les premiers jours de décembre. Parmi les sujets importants, il y aura l’animation de la vice-province dans la foulée de la 2e assemblée vice-provinciale dont vous avez reçu les Actes informatisés, la préparation immédiate de la 65e assemblée générale qui se tiendra en fin de décembre en Colombie et à laquelle participeront les PP. Honoré Kouassi N’GOUAN, Maxime KOUASSI et moi-même, l’acceptation du budget 2012 dans le contexte de la crise économique qui sévit dans le monde et chez nous.

Vous trouverez en annexe une nouvelle version du calendrier. Je m’excuse des nouveaux changements mais les situations imprévues et inconnues viennent bouleversées constamment l’agenda.

La plupart des diocèses ont lancé ou lanceront dans les prochains jours la nouvelle année pastorale. Je vous souhaite une très bonne année. Au plaisir de vous visiter bientôt.

Que la Vierge Marie et son Divin Fils nous bénissent et nous gardent !

Bernard Cantin, c.j.m.

Supérieur vice-provincial

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